Le cancer est l’une des maladies avec le taux de décès le plus élevé au monde. Cependant, quand elle est détectée à temps, il est possible de la traiter grâce à certaines solutions comme la chimiothérapie. Cette dernière permet de détruire les cellules cancéreuses. Toutefois, malgré son efficacité, elle représente un danger pour la santé du patient. Que faut-il savoir sur ce traitement anticancéreux ? Le point ici.
Sommaire
Qu’est-ce que la chimiothérapie ?
La chimiothérapie est une procédure médicale au cours de laquelle, on utilise des produits chimiques pour détruire les cellules cancéreuses. Tout comme la radiothérapie, ce traitement contre le cancer ne nécessite pas l’hospitalisation du patient.
Au cours des différentes séances, le malade reçoit une dose de produits chimiques par intraveineuses, par voie orale ou par contact direct avec la tumeur. Les médicaments de la chimiothérapie peuvent avoir diverses actions :
- la dégradation de l’ADN de la cellule cancéreuse ;
- la prévention de la division cellulaire ;
- le ciblage de la cellule métastatique.
Ces produits peuvent également agir sur les métabolites essentiels. En outre, le médecin peut recourir à la chimiothérapie sur un patient avant une intervention afin de réduire la taille de la tumeur. Il peut aussi la combiner avec d’autres traitements anticancéreux comme la radiothérapie.
Afin de prévenir les troubles prostatiques comme le cancer de la prostate, il est important de faire attention à son hygiène de vie. Certaines marques comme Biovancia proposent également des compléments alimentaires comme Prostalim XR, un produit efficace selon l’avis des médecins.
Pourquoi arrêter la chimiothérapie après trois protocoles ?
Plusieurs raisons peuvent expliquer l’arrêt de la chimiothérapie après trois cycles ou protocoles.
Évaluer l’efficacité du traitement
L’une des raisons qui peuvent expliquer l’arrêt d’une chimio après trois protocoles est l’évaluation de l’efficacité de la procédure. Ainsi, le médecin peut arrêter le traitement pour voir comment les cellules cancéreuses réagissent face aux produits chimiques administrés. En fonction des conclusions de son analyse, le cancérologue peut ajuster le traitement.
Pour faire face à toutes les dépenses que demande un traitement anticancéreux, il est judicieux d’avoir une assurance maladie. Toutefois, si vous vous rendez compte que votre contrat ne vous offre plus les garanties dont vous avez besoin, vous pouvez changer de mutuelle de santé.
Préserver l’organisme du patient contre la nocivité de la chimiothérapie
La chimio consiste essentiellement en l’administration de produits chimiques pour détruire les cellules touchées par la tumeur. Malheureusement, ces substances agissent également sur les cellules saines, ce qui représente un véritable danger pour le patient.
Ainsi, pour réduire l’exposition de l’organisme, il est courant que les médecins arrêtent les séances de chimiothérapie au bout du troisième cycle. Cette démarche permet de préserver le bon fonctionnement des autres cellules du corps.
Le niveau de tolérance du malade
L’oncologue peut arrêter la chimio au bout trois cycles si l’organisme du malade ne tolère pas le traitement. Autrement, le patient risque de faire face à d’importants effets secondaires durant la procédure. On pense notamment à la perte de cheveux, des troubles cardiaques ou encore des réactions allergiques.
L’atteinte de l’objectif du traitement
Le médecin procède à la chimiothérapie dans un but précis. Ce dernier peut être :
- la réduction de la taille de la tumeur ;
- la suppression des cellules cancéreuses ;
- le contrôle de l’évolution du cancer.
Par conséquent, le cancérologue peut arrêter la chimio quand la taille de la tumeur est considérablement réduite et qu’il est possible de procéder à une intervention. Il peut également arrêter le traitement quand les cellules tumorales restantes après une chirurgie ont été complètement éliminées. De même, lorsque la chimiothérapie est palliative, elle permet de ralentir ou de contrôler la propagation de la tumeur dans l’organisme.
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